JEM 2018 : le privé pour faire avancer les choses

JEM 2018 : le privé pour faire avancer les choses
Une compétion équestre l'an dernier.

BROMONT. Le Comité organisateur des jeux équestres mondiaux de 2018 (COJEM) doit s’assurer de trouver 25M$ de financement auprès du secteur privé, relève la conseillère spéciale, Susan Burkman, et ce, le plus rapidement possible.

Le mois dernier, Susan Burkman a été mandatée par le COJEM pour relever l’organisation.  

Sa première proposition à l’endroit de l’organisation est d’axer toutes les énergies sur l’obtention d’un financement en provenance du secteur privé.

Elle en a fait récemment l’annonce au Château Bromont alors qu’une centaine de personnes étaient réunies pour savoir où en était l’organisation de l’évènement équestre.  

Rosaire Houde, le directeur général par intérim du COJEM, a présenté les dernières réalisations. Il a convenu qu’«en raison d’un manque de liquidités financières, il est impossible d’opérationnaliser cette planification».

À la demande du conseil d’administration, des employés du COJEM retourneront temporairement à la maison et les opérations du COJEM seront réduites.

Le directeur général par intérim n’avait pas rappelé le journal au moment de publier.

Les Jeux équestres mondiaux se sont tenus majoritairement en Europe. Au Kentucky en 2010, c’était la première fois que l’évènement se tenait en Amérique.

Les JEM 2018, également une première en sol canadien, devraient rassembler 1200 cavaliers en provenance de 70 pays. Le COJEM rapporte que près de 500 000 spectateurs devraient visiter le site durant les 13 jours de compétition.

Selon une étude de l’Alliance canadienne du tourisme sportif réalisée en 2012 et reprise par le COJEM, les bénéfices économiques de cette compétition devraient s’élever à 200M$.  

 

 

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