Centre de prévention du suicide de la Haute-Yamaska: une nouvelle identité visuelle pour ses 40 ans

COMMUNAUTÉ. Un vent de fraîcheur souffle sur le Centre de prévention du suicide de la Haute-Yamaska. En plus d’arborer une nouvelle image corporative, l’organisme porte un nouveau nom. Une redéfinition organisationnelle qui tombe à point alors qu’il franchit le cap des 40 ans d’activités en 2024.

À compter de maintenant, l’organisme d’aide et de soutien s’appelle dorénavant le Centre de prévention du suicide de la Haute-Yamaska et Brome-Missisquoi. La directrice générale du Centre en a fait l’annonce officielle, lundi soir, à l’occasion de la conférence de l’humoriste Jérémy Demay présentée au Théâtre Palace. Une première activité spéciale fort courue qui marquait le début des célébrations du 40e anniversaire de l’organisation.

À cela s’ajoute une nouvelle signature visuelle pour le centre de prévention qui se compose des lettres C (en vert, la couleur de l’espoir), P (en orange, la couleur de la créativité) et S (en blanc). L’agencement des lettres fait notamment référence à une oreille qui fait allusion, entre autres, à l’écoute attentive, à la bienveillance et aux services offerts par l’organisme.

«Après 40 ans, les gens sont -peut-être un peu fatigués de l’image. Ils ne la voient plus. Avec notre nouveau logo, les personnes vont possiblement le remarquer davantage.» «On est tellement fier de nos 40 ans de services sans arrêt, on n’a jamais lâché. Les gens qui ont parti le centre de prévention nous ont légué de belles choses», a expliqué la directrice générale du Centre de prévention du suicide, Anne Jutras.

Autres activités à venir

Dans les prochains mois, le Centre de prévention soulignera en grand ses quatre décennies d’existence à travers diverses activités. Un 5 à 7 présenté au Central 217, le 3 octobre prochain, viendra clore les festivités, a annoncé l’organisme.

Un événement-bénéfice à grand déploiement prévu pour 2025 est par ailleurs en chantier, a fait savoir Mme Jutras. «On a une idée générale, on a fait des approches. Il faut ficeler tout cela bien comme il faut et par la suite, on va en parler beaucoup.»